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COMMENT NOS PENSÉES IMPACTENT NOTRE SANTÉ


Vous avez déjà entendu parler de la Loi d’Attraction ? Celle qui postule que nous attirons à nous ce que nous pensons. Alors voici quelques revers de la question, appliqués à notre santé…

  • Ce qu’il se passe quand nous râlons.

Tout le monde le fait à un moment ou un autre, mais jusqu’à quel point la plainte, ou nos épisodes de râlerie sont-ils bons, ou nocifs, pour notre santé ? On pourrait considérer la plainte comme une simple décharge de frustration et la justifier comme un moyen nécessaire pour rester sain d’esprit. Soit.

Une personne moyenne se plaint au moins une fois par minuteau cours d’une conversation.

Etant donné que nous faisons tous l’expérience de la négativité ou de situations non désirées dans notre vie, c’est un terrain d’entente sur lequel nous pouvons tous nous identifier, et donc entamer une conversation.

En fin de compte, rien ne change vraiment grâce à nos plaintes ou tous les sentiments et pensées négatifs que nous dissipons et qui finissent par nous affaiblir.

Axés à l’origine sur le négatif comme un moyen de survie, nous aurions tendance à être plus en accord avec ce que nous ne voulons pas, ou apprécier de le changer (d’y apporter un changement).

Plus nous posons notre regard sur quelque chose qui peut être blessant, plus nous sommes programmés pour être sur nos gardes.

Se plaindre est une façon de reconnaître un problème sans essayer de le régler. Cela alimente le problème avec plus d’énergie et crée plus de stress., en nous faisant sécréter du cortisol.

  • Les effets sur notre santé

Les plaintes sont à égalité avec le tabagismelorsqu’il s’agit de notre système de soins de santé.

Le stress causé par le fait de se plaindre endommage constamment les neurones dans l’hippocampe et altère sa capacité à créer de nouveaux neurones ou des chemins neuronaux. L’hippocampe est la partie du cerveau utilisée pour résoudre les problèmes et le fonctionnement cognitif.

On sait d’ailleurs que ce cortisol annihile certaines connexions, empêchant le cerveau, et à plus large échelle, l’organisme, de bien fonctionner : le système immunitaire est limité, le système digestif est perturbé et découlent alors pathologies graves et moins graves.

En outre, lorsque vous écoutez quelqu’un d’autre se plaindre cela vous affecte de la même manière que si c’était vous-même qui vous plaigniez. Nous sommes donc tous entourés de ces pensées négatives qui, à un moment donné, participent à détériorer notre santé à petit feu.

Alors, voici quelques façons de limiter les effets de la plainte.

  • Définissez la plainte, suivez sa fréquence et prenez conscience à chaque fois que vous vous plaignez et pourquoi vous le faites.

Une plainte et une constatation sont différentes dans le sens où l’une est une déclaration et l’autre est un sentiment ou une opinion jointe à la déclaration. « Il fait vraiment chaud à l’extérieur » est une observation. Elle devient une plainte lorsque vous y ajoutez « Il fait vraiment chaud à l’extérieur, et je commence à en avoir marre ».

Soyez attentif lorsque vous annoncez une plainte et jusqu’à quel point vous le faites. Vous pouvez le faire devant votre écran ou même en vous parlant à vous-même. Comprendre à quel point cela est un vrai problème est une première étape. Et ceci mérite du courage pour mettre toute mauvaise foi de côté. Simplement, si votre déclaration vous rend mal à l’aise, alors vous êtes dans la plainte. Restez le plus à l’aise possible avec ce que vous dites.

  • Prenez vos distances avec les pleurnicheurs incorrigibles

Maintenant que vous savez à quel point il est nuisible d’être entouré de personnes qui se plaignent constamment, si vous êtes coincé dans une telle situation ou un tel lieu, essayez d’être proactif et productif vis à vis des problèmes, et proposez des solutions. Il s’agit de surtout ne pas conforter la personne dans la situation qui provoque la râlerie ou le négatif. Offrez-lui la possibilité de voir le résultat positif, même si parfois, la solution semble inextricable.

  • Transformez la plainte en quelque chose d’autre

Par exemple avec des déclarations positives telles que, « Je n’aime pas conduire pour aller au travail, mais je suis reconnaissant d’avoir un emploi ». Ne laissez pas vos paroles finir sur une note négative.

Une autre excellente façon de le faire est par le changement, le « Je dois aller au travail » peut être remplacé par, « J’ai la chance d’aller travailler aujourd’hui ».

Une des meilleures façons de retirer les déclarations négatives dans votre vie est en retirant de vos phrases le mot « Je » ou « Moi ». Faites ce que vous avez à faire mais évitez de tirer l’attention sur vous-même si vous ne parvenez pas à être positifs.

  • Des solutions pour reprogrammer notre cerveau

Vous le savez, devenir positifs du jour au lendemain, là où l’on s’est petit à petit laissés glisser vers la facilité de la négativité, n’est pas la chose la plus aisée qui sait. Soyez indulgents avec vous-mêmes, laissez-vous du temps. Et surtout soyez reconnaissants ! Le simple fait de remarquer que vous avez cessé votre mauvaise habitude est déjà un signe de victoire !

Alors, stop au stress et au sabotage. L’hypnose vous emmène également dans cet endroit où tout est possible et où vous pouvez devenir une nouvelle personne, délestée de ses bagages négatifs et pesants, sur votre mental, mais aussi sur votre santé physique. Prendre un temps pour soi est aussi un moyen de prendre du recul vis-à-vis de nos modes de vie, même s’ils sont installés depuis des décennies.

Les Fleurs de Bach sont de merveilleux outils pour vous aider à traverser des émotions délétères, déclencheurs de pensées probablement négatives.

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