top of page

COMMENT L'HYPNOSE STIMULE LE POUVOIR D'AUTO-GUÉRISON DU CORPS


De magnifiques et grandes nouvelles suite à des expérimentations démontrent qu’il est aujourd’hui possible d’influencer le « destin génétique » d’une personne en activant les gènes désirables, mais qui sont éteints, et en désactivant ceux qui lui sont inutiles ou néfastes.

Grâce aux sciences de l’épigénétique et de l’hypnose, nous pouvons comprendre les modifications qui nous ont été transmises à travers nos gènes, et établir une communication avec notre ADN, dans le but de freiner la survenue de dangereuses mutations génétiques (cellules tumorales ou cancéreuses).

-> Quelques définitions

  • Qu’est-ce que l'Hypnose : Il s’agit d’un état psychologique, naturel, permettant de procurer chez une personne un niveau d’attention et de conscience modifié.

  • l'épigénétique : Cette science consacrée à la compréhension des modifications transmissibles et réversibles de l’expression génétique.

  • l'ADN : C’est l’ acide désoxyribonucléique des cellules vivantes, constituant essentiel des chromosomes qui supportent nos gènes.

  • l'ARN : L’acide ribonucléique est chargé de transporter le message génétique lors de la synthèse des protéines.

  • l'expression génétique ou génique : Cela représente l'ensemble des mécanismes qui assurent la transcription et la traduction de l’information génétique.

  • un photon : C’est la particule élémentaire (quantum) de la lumière qui transmet l’interaction électromagnétique.

-> Comprendre la façon dont s’opèrent les modifications dans les gènes

La cellule humaine est dotée de nombreux systèmes de contrôle, qui lui permettent à la fois de traquer l’apparition de mutations génétiques dangereuses, et de modifier l’information stockée dans l’ADN, destinée à réguler l’expression génétique. Elle s’assure ainsi de produire des protéines actives, en quantité voulue et au moment opportun, grâce à un ajustement précis de l’activité des ribosomes et de la synthèse des protéines dans son ensemble.

Ces modifications ne seraient pas possibles sans le processus biochimique dénommé « expression génétique », qui est à l’origine de la fabrication de milliers de protéines intervenant dans le fonctionnement de la cellule.

En fonction des informations héréditaires contenues dans les gènes, ce processus biochimique est la première étape qui consiste à recopier ces informations sous la forme d’ARN, une molécule très proche de l’ADN. Et c’est à ce stade de transmission et de modification des informations stockées dans l’ADN qu’intervient l’hypnose, afin que le corps expérimente ce que l’ensemble des caractères psychiques de l’homme croit, et qu’il atteigne son plein potentiel dans le processus naturel de guérison.

-> Comment peut-on ainsi communiquer avec les « super gènes » ?

À l’évidence, communiquer avec l’infiniment petit, pour ensuite l’influencer, paraîtrait comme une démarche qui défie la nature même des choses. Pourtant, de nombreuses recherches scientifiques ont validé cette approche à travers laquelle il est possible d’influencer et de reprogrammer l’ADN, grâce à des mots et des fréquences, des sentiments sans que nous ayons à intervenir dans aucun processus de remplacement ni de découpage d’un seul de ces gènes.

En effet, des formes de connexions, impossibles à percevoir par le sens humain, peuvent s’établir en dehors des notions de temps et d’espace, mais à travers lesquelles des informations se transmettent indéfiniment.

Ce processus se déclenche naturellement et en toute efficacité lorsqu’un individu est totalement relaxé, dans cet état de conscience modifiée. Cette découverte a été considérée comme une nette avancée dans la compréhension de notre patrimoine génétique. Grâce notamment au concours de l’hypnothérapie, les vibrations énergétiques et le langage ont, en quelque sorte, emboité le pas au processus biochimique qui s’exécute naturellement et de façon systématique dans nos cellules.

-> Quelques limites: il apparaît que l’intensité à laquelle chaque individu est « programmable » par le langage, est différente.

En effet, communiquer de manière consciente avec l’ADN nécessite que le patient se fasse accompagner « thérapeutiquement » afin de travailler sur lui-même sur des mécanismes intérieurs qui lui sont propres, comme ses émotions. Ce travail a pour but de développer un état « mature » lui permettant de recevoir les bonnes fréquences et d’activer les « super gènes » responsables de notre bien-être.

Deux éminents spécialistes des sciences génétiques, en l’occurrence les docteurs Luc Montagnier et Glen Rein, ont prouvé respectivement que les états de stress, d’anxiété, d’inquiétude, ou bien un cerveau en état d’hyperactivité peuvent empêcher l’établissement d’une communication consciente avec notre ADN. Le prix Nobel Luc Montagnier a ainsi démontré qu’un niveau de fréquence électromagnétique de 7 hertz pouvait activer les photons de l’ADN. Le Dr Glen Rein a, pour sa part et à plusieurs reprises, réussi à prouver que les ADN réagissaient aux diverses émotions chez une personne. Lorsqu’une personne envoyait de puissantes pensées de colère, l’ADN « se déroulait » de lui-même et venait à mourir. À l’inverse, lorsque cette personne envoyait des pensées d’amour, l’ADN s’enroulait à nouveau et allait même jusqu’à guérir les autres cellules mourantes.

C’est uniquement lorsqu’une cellule est activée d’une nouvelle manière, c’est-à-dire guidée et pourvue de nouvelles informations, qu’elle peut créer des milliers de variations d’un même gène. Le résultat est sans appel : de nouvelles expressions de protéines naissent, ce qui modifie entièrement le corps. Il en ressort que les états « négatifs » peuvent ainsi altérer à terme les informations qui se transmettent dans les gènes, et fausseront le processus d’expression génique, à l’origine même des mutations génétiques dangereuses.

-> L’hypnose : la communication consciente à travers l’hypnose thérapeutique

Selon les cas, recourir à l’hypnose permet avant tout de modifier le niveau d’attention et de conscience du patient, et ensuite de « reprogrammer » sa conscience afin que les processus de transcription et de traduction génétiques s’engagent avec efficacité. Si la conscience individuelle du patient est moins développée, donc moins apte à communiquer, le thérapeute est en mesure de mettre en œuvre des techniques spécifiques selon le modèle d’hypnose qu’il a choisi. L’objectif principal est de mettre le patient dans des conditions optimales afin de déclencher le mécanisme de communication consciente.

-> De nombreuses techniques hypnotiques peuvent être appliquées à travers les différents modèles utilisés en thérapie :

  • L’hypnose ericksonienne qui se rapproche de l’hypnose conversationnelle, et part du principe que le patient doit être l’acteur de son propre rétablissement.

  • L’EMDR (eye movement desensitization and reprocessing) ou désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, se basant sur la stimulation sensorielle. Cette technique permet de réactiver la fonction normale du cerveau chez un individu qui souffre de troubles anxieux sévères, consécutifs à un événement traumatisant ayant engendré un dysfonctionnement dans le stockage des mémoires.

  • La cohérence cardiaque, une forme d’auto-hypnose très bénéfique notamment dans la gestion de stress et la prévention des maladies cardio-vasculaires.

  • L’hypnose de régression qui consiste à retracer les vies antérieures d’un patient afin de comprendre certaines de ses blessures et les guérir.

Par ailleurs, il faut reconnaître que, dans notre perception des événements que nous traversons chaque jour, et sans recourir à l’hypnose, les formes de connexions conscientes s’apparentent également à une forme d’« hyper-communication ». Nous les définissons souvent, et de manière subtile, par le terme d’« intuition ». Celle-ci se présente à nous soudainement lorsque nous avons accès à des informations qui ne font pas partie de nos connaissances de base. Et c’est cette forme de communication que nous expérimentons ensuite en tant qu’inspiration ou intuition.

-> Quid des limites de la thérapie de l’hypnose dans le processus d’expression génétique ?

Dans toute approche liée à l’hypnose, il est impossible de passer outre la dimension de l’esprit et de l’abstrait. De plus, le cadre d’expérimentation actuel de l’hypnose, pour se mettre en communication avec les gènes, est complexe. Ainsi, les limites d’une hypnose associée à la thérapie génétique restent difficiles à déterminer, toutefois, les faits sont reconnus : l’hypnothérapeute peut transmettre des indications vers les éléments messagers (ARN), afin que ceux-ci trouvent la voie pour assurer la bonne transcription et la traduction de l’information génétique.

Nous savons par ailleurs que notre organisme est un équilibre parfait entre 4 structures fondamentales – corps, esprit, énergie et mental – qui ne se dissocient pas dans tout processus de guérison. Ce que nous ressentons à travers le corps (douleur, fièvre…) est l’expression d’un dysfonctionnement interne, prenant racine dans notre inconscient, mais qui va bien au-delà de nos simples perceptions et de nos compréhensions limitées du mécanisme complexe qui s’opère dans nos gènes.

Si certains événements marquants de notre vie, extérieurs à notre organisme, ont la capacité de modifier nos pensées.

Et aussi nos habitudes ou nos émotions, alors, pourquoi ne serait-il pas possible de les influencer positivement de l’intérieur ? À la longue liste des expériences réussies, propres aux effets de l’hypnose (apaisement des douleurs, réduction des anxiétés au quotidien, perte de poids, arrêt du tabac, traumatismes, phobies…), s’ajoute désormais celle de la « configuration des gènes » à travers une communication consciente.

Enfin, en associant l’hypnose à la science de l’épigénétique, de nouvelles perspectives de soins s’offrent à l’être humain, qui n’est certainement pas condamné par ses gènes. Un changement de conscience peut réellement produire des modifications physiques significatives, structurelles et fonctionnelles dans son corps. De plus, force est de reconnaître que l’hypnose ne présente aucun risque ni effet secondaire quelconque pour le patient.


12 vues0 commentaire
bottom of page